Berchtold, ministre autrichien des Affaires étrangères, amorce la
rédaction de l'ultimatum. Il en prévient l'ambassadeur allemand à
Vienne, lequel fait remonter l'information jusqu'à Guillaume II.
Celui-ci, d'après une note manuscrite en marge du télégramme, ne voit
pas l'intérêt de perdre du temps à monter un simulacre de diplomatie.
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